Le livre-blues
Publié le 7 Mars 2008
Ô rage, ooo désespoir... je ère dans mon appartement telle une vieille chaussette qui aurait perdu sa paire, je vais de mon bureau à mon canapé, de mon canapé à ma lampe, de ma lampe à ma table de
cuisine. J'allume la radio, j'éteins la radio, je commence les Mémoires d'outre-tombe et je finis avec Marie-Claire... aaaaaah !!! mes amis, me voici dans le post-livre, me voici dans
le livre-blues !!!
Non, non, non, ne riez pas, telles ces mamans perdues après tant et tant d'attentions, je ne suis plus rien, mes crayons sont loin, et les feuilles blanches sont blanches !! mon cerveau essaie de reprendre sa marche, mais en dedans ça résonne ; le vide intersidéral s'est installé sous mon crâne, et des petit vaisseaux spatiaux s'y promènent gaiement en sifflotant l'Hymne à la joie !
Aaaah ! quel délicat moment que celui du milieu, entre le fini et le pas commencé il y a comme un trou, comme un moment de rien, comme un flottement dans l'air qui laisse un je ne sais quoi de truc bizarre !
Mais, ne nous laissons point abattre, et, comme le disait Didier à Félix : "il faut laisser le temps au temps", et bientôt ce petit livre-blues aura disparu !
Allez, j'vais manger une tablette de chocolat,
Non, non, non, ne riez pas, telles ces mamans perdues après tant et tant d'attentions, je ne suis plus rien, mes crayons sont loin, et les feuilles blanches sont blanches !! mon cerveau essaie de reprendre sa marche, mais en dedans ça résonne ; le vide intersidéral s'est installé sous mon crâne, et des petit vaisseaux spatiaux s'y promènent gaiement en sifflotant l'Hymne à la joie !
Aaaah ! quel délicat moment que celui du milieu, entre le fini et le pas commencé il y a comme un trou, comme un moment de rien, comme un flottement dans l'air qui laisse un je ne sais quoi de truc bizarre !
Mais, ne nous laissons point abattre, et, comme le disait Didier à Félix : "il faut laisser le temps au temps", et bientôt ce petit livre-blues aura disparu !
Allez, j'vais manger une tablette de chocolat,